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Notre histoire

Solidagro œuvre pour le droit à l’alimentation pour tout le monde et soutient le droit des peuples et des États de déterminer de manière autonome leur propre politique agricole et alimentaire.

Nous considérons les mouvements de base et les organisations paysannes comme le moteur du changement dans la société. Nous soutenons ces mouvements en renforçant leurs capacités, en facilitant les échanges, en collaborant et en influençant les politiques. Nos actions visent à augmenter et à maintenir la production alimentaire en vue de l’autonomisation économique.

Nous cherchons à mettre en évidence la cohérence globale des enjeux agricoles et alimentaires. Solidagro appelle à une solidarité matérielle et politique active.

Solidagro travaille dans un esprit de solidarité et d’égalité. Nous privilégions une coopération fondée sur le respect mutuel, l’échange et le dialogue.

Approche basée sur les droits

Solidagro ne travaille pas pour les populations de ses pays partenaires, mais avec elles. Ce n'est qu'ainsi qu'un changement structurel durable est possible. Pour ce faire, nous ne partons pas des besoins de la population, mais de ses droits. Nous utilisons l'approche fondée sur les droits.

Le rôle actif des détenteurs de droits - femmes, hommes, travailleurs, agriculteurs, enfants et jeunes - vis-à-vis des détenteurs d'obligations - ceux qui ont la responsabilité de réaliser, promouvoir et protéger les droits - est au cœur de l'approche fondée sur les droits. Il s'agit principalement, mais pas exclusivement, du gouvernement et des décideurs politiques.

À propos du secteur de la solidarité internationale1

La solidarité internationale doit être considérée comme une réparation des injustices coloniales, et non comme un simple acte de générosité. Les anciennes puissances coloniales doivent reconnaître les torts passés et prendre des engagements financiers fondés sur la responsabilité, et non sur l'intérêt personnel. Une partie au moins des richesses prises aux pays du 'Global South'2 devrait être restituée pour soutenir leur développement.

1. Le terme commun pour notre secteur est « coopération au développement », mais cela implique une supériorité et fait écho à la rhétorique coloniale. Il s'aligne sur la croissance néolibérale, alimentant les inégalités et nuisant à la planète. Nous préférons « solidarité internationale » pour rejeter cette hiérarchie et ses injustices.

2. Les termes « Global North » et « Global South » sont fréquemment utilisés en anglais et dans les milieux académiques. Ces termes peuvent s’avérer pratiques selon la perspective de l’analyse systémique des inégalités de pouvoir et des relations d’exploitation. Il ne s’agit cependant pas d’une terminologie alternative particulièrement adaptée si l’on se place dans le contexte de la quête de relations Nord-Sud décloisonnées.

Avec le soutien de

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